Le Sermon sur la Montagne (conclusion)

[Extrait du Sermon du la Montagne, 2005]

Celui qui écoute ma parole et la met en pratique sera semblable à un homme avisé qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé, se sont déchaînés sur cette maison, et elle n’a pas croulé : elle était fondée sur le roc.

Mais quiconque entend ces paroles que je viens de dire et ne les met pas en pratique est semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison, et elle s’est écroulée. Et grande a été sa ruine !

Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule se trouva vivement frappée de son enseignement ; car Il enseignait en homme qui a autorité et non pas comme leurs scribes. (Mt 7, 28-29)

Jésus a parlé. Il a dit à l’homme, à tous ses frères, les lois de la Vie, le chemin qui conduit au but, à la destinée. Envoyé par le Créateur et Père pour travailler à Son œuvre, Il a donné ses consignes, jeté les fondations de la Cité. Qui construit avec Lui, en suivant les principes posés, construit sur du roc. Vie personnelle, vie nationale, vie sociale et vie politique devront s’appuyer sur l’enseignement de Celui qui connaît le Principe et la Fin, le but et les moyens.

La terre ne pourra trouver une solution à ses maux en dehors de l’Amour qui est l’essence même du Prince de la paix. Je ne crois pas qu’il y ait un seul problème dans ce pays ou ailleurs qui ne puisse être résolu par les principes du Sermon sur la Montagne (Pie XII).

P.M.

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